🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2022-20
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Le Monde, Spritz, ginger beer, anis... Les nouvelles stars de l’apéro, 28/05/2022
CNBC, Rapid grocery delivery boom comes to a grinding halt as Getir, Gorillas slash jobs, 26/05/2022
Insider, People who drink coffee every day are less likely to die early than non-coffee drinkers, research suggests, 30/05/2022
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
La Tribune, Inflation : le budget alimentaire pourrait bondir de 224 euros par personne en 2022, 24/05/2022
Dans une étude publiée le 22 mai, l'assureur crédit Allianz Trade explique que l’inflation des prix dans l’alimentaire pourrait entraîner une hausse du budget de 224 euros par personne en France en 2022. Cette conclusion se base sur l'hypothèse que les distributeurs répercutent sur leurs prix de vente 75% de la hausse des prix qu'ils paient aux industriels du secteur agroalimentaire.
Comme l’explique Aurélien Duthoit, conseiller sectoriel chez Allianz Trade, “les prix des distributeurs alimentaires pourraient croître de 8,2%, ce qui engendrerait une hausse des dépenses alimentaires annuelles de 224 euros par personne cette année, pour un total atteignant 2.963 euros”.
Pour se rassurer un peu, les Français ne seraient pas les plus mal lotis. En effet, la hausse moyenne du budget alimentaire au sein de l'Union européenne serait de 243 euros. Elle monterait même à 254 euros pour les Allemands.
Le Monde, Spritz, ginger beer, anis... Les nouvelles stars de l’apéro, 28/05/2022
L’apéro fait un retour en force depuis la fin des confinements. La preuve, en 2013, 47 % de Français déclaraient prendre l’apéritif une fois par semaine et ils seraient 51 % aujourd’hui (et 74 % à le faire une fois par mois – source IFOP).
Toutefois, comme le constate Florian Gansloser, directeur de l’innovation du groupe Pernod Ricard, “l’apéro s’est renouvelé. Les consommateurs recherchent une plus grande variété et une meilleure qualité d’expériences, avec des boissons souvent plus faibles en alcool”. Richard Cullen, du groupe Bacardi-Martini, parle du développement du “slow drinking”, à savoir “boire moins mais mieux, en passant de la consommation à la dégustation”.
Parmi les stars de l’apéro on trouve évidemment la bière et le vin. D’ailleurs le succès de la bière s’explique par la multiplication des brasseries artisanales. Selon Magali Filhue, la déléguée générale de Brasseurs de France, “il ne restait en France que 25 brasseries dans les années 1980, on en compte 2 300 en 2021” et “depuis cinq ans, il s’en ouvre quasiment une par jour”.
Dans les vins, outre le rosé c’est surtout le Prosecco qui remporte un succès important grâce à l’explosion du Spritz.
Par ailleurs les apéritifs semblent plutôt bien résister et pour les cocktails, le rhum reste un incontournable.
Autre stars montantes : la ginger beer et le ginger ale, des boissons au gingembre qui sont “boostées par le moscow mule, nouvelle star des cocktails”, qui est un “mariage de vodka, de jus de citron vert et de ginger beer”.
Le Monde, Tous les gins sont dans la nature, 26/05/2022
Un article assez complet sur un spiritueux en vogue.
Comme l’explique Julien Roques, l'un des fondateurs de la maison Baccae, “le gin, c'est facile et fun. À produire d'abord : il n'y a pas de restriction, du moment que l'on a l'alcool de base [blé, seigle, orge, betterave, raisin...] et le genièvre. [La seule contrainte réglementaire est que la boisson finale doit avoir un arôme "significatif" de genièvre!] Cela laisse un champ de liberté important et la place à de multiples recettes, très personnelles”.
D’après l’article, les origines du gin remontent au XVIe siècle, aux Pays-Bas et en Belgique, “avant de traverser la frontière après la Révolution française”. Par la suite, c’est au 19è siècle que les Britanniques s’y sont mis et le “London dry gin” était né. On apprend également qu’à l'origine, “cette boisson, vendue dans les officines pharmaceutiques, servait à atténuer l'amertume de la quinine dans les traitements antipaludiques”.
Autre spécificité du gin : “contrairement à d'autres alcools, (il) se boit rarement pur” mais plutôt en cocktail, “le plus couramment, avec du tonic, en long drink”.
Certains comme Philippe Jugé, spécialiste des spiritueux tempère toutefois le succès du gin en expliquant qu’« on dit depuis quinze ans que le gin va connaître un boom, mais cela bouge assez peu. Cela doit représenter quelque 10 millions de bouteilles (…) quand le whisky en compte quasiment 200, le rhum 60 et les anisés 100”
L’Express, Spiritueux sans alcool : un marché en pleine expansion, 21/05/2022
Selon les chiffres de l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT), la consommation de spiritueux a diminué de 16 % ces vingt dernières années. L’article s’intéresse donc au développement des spiritueux sans alcool. Ce marché de “la sobriété décomplexée” est évalué à 10 milliards de dollars par l'institut IWSR. C’est certes peu au regard du poids du marché des spiritueux, mais ce marché performe, avec une croissance annuelle estimée à 8 %.
Comme l’explique Simon de Beauregard, directeur du marketing international de Pernod Ricard, “en France, la moitié des acheteurs de boissons alcoolisées optent pour une offre no ou low alcohol. Ces consommateurs alternent les moments conviviaux avec ou sans alcool”.
Evidemment les grands acteurs des spiritueux regardent ce marché de près. Ainsi, Pernod Ricard est devenu majoritaire début 2021 au sein du capital de Ceder's, une boisson distillée aux saveurs de gin affichant zéro degré, et garantie sans sucre. Le groupe a également lancé des versions sans alcool de certains de ses classiques comme Suze Tonic Zéro. De son côté, Diageo est devenu majoritaire en 2019 chez Seedlip.
D’après l’article, plus de 300 marques existent déjà sur ce marché à travers le monde, dont quelques françaises comme JNPR, Osco, ou encore Ousia. Ces entreprises ont quelques avantages par rapport à leurs cousines spécialisées dans l’alcool : elles ne sont pas soumises aux droits qui frappent les boissons alcoolisées, ni à la taxe « sodas » basée sur le taux de sucre, elles profitent d'une TVA à 5,5 % et enfin elles ne subissent pas l’inflation des prix du sucre et de l’alcool. Résultat : des marges confortables autour de 40 %.
Huffington Post, Salmonelle : 3000 tonnes de produits Kinder retirés du marché, des «dizaines de millions d'euros» de pertes, 26/05/2022
Dans une récente interview, Nicolas Neykov, le directeur général France de Ferrero a présenté des excuses et a donné des chiffres sur l’ampleur de la crise sanitaire qu’a connu Ferrero en avril dernier.
Ainsi, ce sont plus de 3000 tonnes de produits Kinder qui ont été retirées du marché au total après de nombreux cas de salmonellose en Europe. Le groupe chiffre l’impact financier à "plusieurs dizaines de millions d'euros", soit environ "40% du chiffre d'affaires" du groupe sur la période de Pâques.
Selon le groupe, la contamination proviendrait “d'un filtre situé dans une cuve à beurre laitier” de l'usine d'Arlon en Belgique et y serait arrivée “soit par des matières premières contaminées, soit par des personnes”.
Le dirigeant a également précisé qu’à l’avenir 50% des contrôles sanitaires seront “réalisés par un laboratoire extérieur homologué”.
Le Figaro, Les fortes chaleurs révèlent les difficultés de la filière de fraises françaises, 30/05/2022
Les fortes chaleurs de la mi-mai ont mise à mal une partie de la filière française de la fraise. La raison : les fraises ont mûri trop vite et, faute de main d’oeuvre, il y a eu des pertes records.
Comme le résume Émeline Vanespen, directrice générale de l'AOPN Fraise de France, “la difficulté aujourd'hui pour les maraîchers cultivant les fraises en sol c'est de trouver des gens assez motivés pour être à quatre pattes et ramasser des fraises sous le cagnard”.
Laurent Dirat, producteur de fraises, explique “je travaille aujourd'hui avec 52 personnes. Il m'en aurait fallu trois fois plus pendant ces dix jours (de chaleur)”. Il accuse par ailleurs la grande distribution de ne pas vouloir mettre en rayon “des fraises en légère surmaturité” alors qu'elles pourraient, selon lui, “être vendues pour faire de la confiture”.
Les Échos, TheFork et TripAdvisor se développent dans le paiement au restaurant, 31/05/2022 + Le Figaro, Restauration: les nouvelles ambitions de l’application TheFork, 31/05/2022
En 15 ans, TheFork (ex-La Fourchette) est devenu leader en Europe et en Australie de la réservation de restaurants en ligne. Lancé en 2007, La Fourchette (devenu TheFork en 2020) avait été racheté en 2014 par Tripadvisor. Son modèle est actuellement basé sur 2 sources de revenus selon son PDG Almir Ambeskovic : “des commissions sur l’addition et les versements effectués par les restaurateurs pour bénéficier de notre logiciel et nos services (données clients, plan de salle…)”
Désormais l’entreprise cherche à diversifier ses activités. L’an dernier, elle avait lancé TheFork Pay, une solution de règlement sans contact intégrée dans l'application et disponible dans 25000 restaurants en France, Italie et Espagne. A partir de la fin de ce mois elle va proposer le paiement à table via un QR Code. Dans un premier temps ce service sera disponible dans 200 restaurants dans les trois pays précités et ce nombre passera à un millier à la fin de l'année avant un développement à plus grande échelle en 2023. Enfin, l’entreprise a également mis en place avec une carte-cadeau à dépenser uniquement au restaurant. Disponible à l’heure actuelle uniquement en ligne, il sera bientôt possible de l’acheter en magasin.
Almir Ambeskovic a d’ailleurs de grandes ambitions et affirme ainsi “En quinze ans, nous avons généré 10 milliards d’euros de dépenses au restaurant. Notre objectif est de faire dix fois plus dans les quinze prochaines années. Notre communauté d’utilisateurs en Europe sort deux fois plus au restaurant que la moyenne et dépense 14% de plus”.
L’Usine Nouvelle, Popchef lève 15 millions d'euros pour mettre les cantines d'entreprises à l'heure du télétravail, 31/05/2022
Nous vous parlions la semaine dernière du succès des cantines digitales en entreprise. Voici une preuve que ce marché est en pleine expansion. En effet, Popchef vient d’annoncer dans une vidéo pleine d’humour sur Linkedin une levée de fonds de 15 millions d’euros.
A ses débuts, en 2015, PopChef était spécialisée dans la livraison de repas aux entreprises. Mais elle a dû totalement revoir sa stratégie suite à l’arrivée de Deliveroo et Uber Eats. Après avoir licencié deux-tiers de ses effectifs, PopChef s'est repositionnée sur le marché des cantines connectées. Elle propose ainsi des frigos connectés disponibles en libre-service à toute heure (déverrouillables avec un badge ou un smartphone), des comptoirs, des bars à salade ou à sandwich ou encore des box télétravail livrées à domicile.
PopChef se revendique numéro trois européen de la "cantine connectée" et déclare avoir multiplié par trois son chiffre d'affaires sur les 12 derniers mois.
La levée de fonds va permettre à PopChef de s’engager envers le développement durable, notamment en tendant vers le zéro déchet, en privilégiant les circuits courts, l’agriculture durable et les produits de saison et en réduisant ses emballages. Elle envisage également de s’étendre dans plusieurs grandes villes françaises comme Lyon, Marseille ou encore Bordeaux.
CNBC, Rapid grocery delivery boom comes to a grinding halt as Getir, Gorillas slash jobs, 26/05/2022
La semaine dernière, deux des plus importantes startups du Q-commerce, Getir et Gorillas, ont annoncé leur décision de licencier des centaines d'employés.
Getir a déclaré qu'elle prévoyait de réduire ses effectifs mondiaux de 14 % (Getir emploie plus de 6 000 personnes dans le monde, selon LinkedIn). La startup a également annoncé qu’elle allait “diminuer les dépenses liées aux investissements marketing, aux promotions et à l'expansion”.
De son côté, Gorillas a déclaré qu'elle prenait la "décision extrêmement difficile" de licencier environ 300 de ses employés, invoquant la nécessité d'atteindre la rentabilité à long terme. Gorillas étudie également la possibilité de se retirer de l'Italie, de l'Espagne, du Danemark et de la Belgique, entre autres "options stratégiques", afin de se concentrer sur des marchés plus rentables comme les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Allemagne.
Getir et Gorillas ont levé respectivement 1,8 et 1,3 milliard de dollars à ce jour. Getir a été évalué à 12 milliards de dollars en mars, tandis que Gorillas a été évalué pour la dernière fois à 3 milliards de dollars.
Vox, The plant-based future of food doesn’t always taste that great, 25/05/2022
Un article intéressant sur les alternatives végétales à la viande, aux oeufs et au lait parce qu’il s’intéresse à un sujet trop peu abordé : est-ce que ces produits ont bon goût ?
L’auteur de l’article explique recevoir énormément d’échantillons de la part des entreprises de ce secteur. Ainsi, comme il l’affirme “certains des produits que les startups m'envoient sont délicieux, beaucoup sont tout juste corrects, et quelques-uns sont carrément horribles, suffisamment mauvais pour que je me demande à voix haute : “Pourquoi laissent-ils les gens manger ces trucs ?””.
Avec la multiplication des startups et des lancements de produits, il y a selon lui “une surabondance de produits médiocres”. Ainsi, alors que ces produits visent à remplacer la viande animale, l’auteur met en avant le fait que “pour que ce changement se produise à plus grande échelle, les aliments d'origine végétale doivent tenir leurs promesses gastronomiques”. Or, selon lui, “la surabondance de produits médiocres qui ont atterri dans ma boîte aux lettres ne va certainement pas aider l'objectif à long terme du secteur, et pourrait très bien le menacer”. Il est rejoint dans son constat par Jennifer Bartashus, analyste principale chez Bloomberg Intelligence, qui précise que “s'il y a une pléthore de produits vraiment médiocres sur le marché, et que les gens qui n'ont pas fait leurs recherches ou qui n'ont pas été exposés à de [meilleurs] produits choisissent l'un d'entre eux comme première incursion dans les aliments d'origine végétale, cela peut certainement créer un halo négatif autour de la catégorie”.
Dans les divers sondages, les consommateurs affirment que le goût est le facteur le plus important lorsqu'ils décident de la marque d'alternative à la viande à acheter, mais les "étiquettes propres/ingrédients reconnaissables" arrivent en deuxième position. Ainsi, un consultant constate que trop de startups façonnent leurs produits en fonction de cette deuxième attente, ce qui pourrait également contribuer à expliquer la médiocrité des résultats.
The Guardian, Will this fruit-picking robot transform agriculture?, 28/05/2022
Si cueillir une pomme est une chose très simple pour les humains, il n’en est rien pour un robot et fabriquer un robot capable de cueillir une pomme et de la déposer dans une corbeille sans l'endommager a nécessité plusieurs millions de dollars de recherche & développement pendant sur plusieurs décennies.
Comme l’explique l’article, des équipes du monde entier ont essayé diverses approches : certaines ont mis au point des systèmes à vide pour aspirer les fruits des arbres, d’autres ont cherché à reproduire le geste de la main humaine. Le chercheur en robotique Joe Davidson et son équipe se sont tournés vers la 2è solution. Ainsi, ils ont commencé par observer des cueilleurs de fruits professionnels et ils cherchent désormais à reproduire leurs gestes avec des doigts robotisés.
Ces travaux pourraient contribuer à changer la donne en agriculture, en transformant la cueillette des fruits, une tâche épuisante et longue pour un humain, en une tâche rapide et plus facile pour les travailleurs agricoles. Les progrès de la robotique dans ce domaine sont observés de près dans un contexte d'aggravation des conditions de travail des ouvriers agricoles ainsi qu’une pénurie de main d’œuvre suite à la pandémie.
Mais, pour apprendre aux robots à cueillir des pommes, il faut également moderniser à la fois le verger et la pomme. Les vergers traditionnels, avec leurs arbres de forme irrégulière et leurs verrières géantes, sont en effet trop difficiles à analyser et à traiter par les algorithmes des robots. Ainsi, de nombreux producteurs ont opté pour des vergers où les arbres poussent à plat contre des treillis, leurs troncs et leurs branches formant des angles droits pour créer un "mur de fruits".
Les progrès rapides de l'informatique permettent à Joe Davidson et à d'autres d'espérer que les robots seront utilisés dans les exploitations agricoles d'ici cinq à dix ans.
Insider, People who drink coffee every day are less likely to die early than non-coffee drinkers, research suggests, 30/05/2022
Voilà une bonne nouvelle pour les buveurs de café.
Selon une étude récemment publiée dans la revue Annals of Internal Medicine, votre café quotidien pourrait vous aider à vivre plus longtemps et en meilleure santé, même si vous y ajoutez du sucre. En effet, des chercheurs de la Southern Medical University de Guangzhou, en Chine, ont examiné les données sur les habitudes de consommation de café et la santé de plus de 171 000 Anglais, qui ne souffraient pas de cancer ou de maladie cardiaque au début de l'étude et ce sur une période de sept ans.
Ils ont constaté que les personnes qui buvaient régulièrement du café non sucré avaient 16 à 21 % moins de risques de mourir au cours de l'étude que leurs homologues qui ne buvaient pas de café. De plus, ceux qui buvaient entre une et quatre tasses de café légèrement sucré par jour étaient 29 à 31 % moins susceptibles de mourir au cours de l'étude, selon les données.
Toutefois, ces résultats ne permettent pas nécessairement de considérer les boissons au café hautement sucrées comme saines, selon un éditorial du Dr Christina Wee, professeur à Harvard, sur l'étude en question.
Opinion Way, La perception, les usages et les attitudes des Français en matière de fruits élaborés, mai 2022
Il s’agit d’une enquête sur la perception, les usages et attitudes des Français en matière de consommation de compotes, de fruits en conserves, en bocaux et surgelés.
Quelques chiffres à retenir :
98 % des personnes interrogées consomment au moins un type de fruits transformés et 79 % au moins une fois par mois au moins un type de fruits transformés.
93 % des personnes interrogées consomment des confitures et 64 % en consomment au moins 1 fois par mois.
91 % des personnes interrogées consomment des compotes et 60 % en consomment au moins 1 fois par mois.
76 % des personnes interrogées consomment des fruits en conserve ou en bocaux et 22 % en consomment au moins 1 fois par mois.
61 % des personnes interrogées consomment des fruits surgelés et 15 % en consomment au moins 1 fois par mois.
92 % des personnes interrogées sont d'accord avec le fait qu'on peut consommer des fruits transformés (hors confiture) en toutes saisons, et notamment en hiver, ils sont également 92 % à estimer que c'est pratique à consommer et 88 % estiment que c'est adapté à toute la famille.
Vu sur LinkedIn les explications de Guillaume Fourdinier, co-fondateur d’Agricool, qui avait été placée en redressement judiciaire il y a quelques semaines. Il y explique notamment ce qui n’a pas fonctionné pour la startup spécialisée dans l’agriculture urbaine.
C’est tout pour aujourd’hui.
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Et si vous voulez vous pouvez même me payer un café ;-)
A la semaine prochaine!
O. Frey