🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2021-9
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Les Echos, Pourquoi les prix des produits agricoles s'envolent, 23/02/2021
Les Echos, Covid : comment les restaurants ont rouvert en Italie, 03/03/2021
New York Times, The TikTok Feta Effect, 26/02/2021
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
Capital, Xavier Niel va lancer une école d’agriculture gratuite, 24/02/2021
A partir de septembre prochain, une école baptisée "Hectar" formera 2.000 étudiants par an aux métiers agricoles et à la reprise d’exploitation. Et cela gratuitement, et quelle que soit leur formation initiale.
Dirigée par Audrey Bourolleau, qui fut notamment conseillère agriculture d’Emmanuel Macron à l’Elysée, celle-ci se situe à Lévis-Saint-Nom, au sein d’un espace de plus de 600 hectares. Selon Capital, l’ensemble comprend de vastes salles de classe, une cantine de 200 places, des cultures certifiées bio et 27 vaches normandes logées à la "Ferme des Godets", une laiterie à l’abandon depuis les années 80, qui produira lait et fromage. Par ailleurs, les centaines d’hectares de bois, friches et champs de céréales, en cours de conversion à l'agriculture biologique, serviront aux travaux pratiques grandeur nature des étudiants.
C’est surtout la structure actionnariale de cette école qui est au coeur des discussions. Elle appartient en effet à 49% à NJJ Exclusive, une société holding de Xavier Niel, le patron de Free.
BFM, Les agriculteurs regardent avec méfiance le projet d'école agricole de Xavier Niel, 26/02/2021
L’annonce de la présence de Xavier Niel au capital d’Hectar interpelle le monde agricole. Le patron de Free a en effet soutenu l’an dernier un projet de référendum sur la cause animale et a participé à la levée de fond de “Les Nouveaux Fermiers”, une start-up qui fabrique des substituts végétaux imitant la viande.
La FNSEA émet notamment des réserves via la voix de sa présidente, Christiane Lambert, qui affirme “on va voir ce qu'il (Xavier Niel) y promeut. S'il y promeut le non-élevage ou la viande de synthèse on va avoir du mal à être d'accord"
Néanmoins, comme elle le précise, il y a un enjeu important de renouvellement des générations en agriculture, avec “140.000 agriculteurs qui vont quitter [le métier] dans les six ans qui viennent sur 450.000 agriculteurs”.
Les Echos, Pourquoi les prix des produits agricoles s'envolent, 23/02/2021
Sur le marché à terme de Chicago, le maïs a touché en février, son plus haut niveau depuis 2013 et le soja son plus haut niveau depuis 2014. A Paris, la tonne de blé meunier se négocie à un plus haut depuis 2012. En Asie, le riz thaïlandais se négocie à un plus haut depuis 2013.
Ces hausses de prix historiques ont plusieurs explications :
du côté de l’offre tout d’abord : des craintes de sécheresse au Brésil et en Argentine avec le phénomène La Niña , un refroidissement des eaux du Pacifique central qui bouleverse le climat à travers la planète. Par ailleurs, le sucre et le riz, qui se transportent en containers, sont victimes de la pénurie de containers au niveau mondial.
du côté de la demande : l'appétit de la Chine. Le pays a en effet importé plus de 100 millions de tonnes de soja et 20 millions de tonnes de maïs (contre 7,6 millions de tonnes de maïs lors de la campagne précédente). Cette forte demande en maïs s’explique par le fait que le pays reconstitue son cheptel de porcs, qui a été fortement diminué suite à la peste porcine africaine en 2019 et 2020. Le pays cherche également à honorer ses engagements d'achat de produits agricoles américains dans le cadre de l'accord de Phase 1 sur la guerre commerciale.
France Télévisions, Circuits courts, labels, marques... Comment s'assurer que nos achats rémunèrent correctement les agriculteurs ?, 23/02/2021
Alors que la loi Egalim, promulguée en 2018, avait pour but de "payer le juste prix aux producteurs, pour leur permettre de vivre dignement de leur travail", ses résultats se font toujours attendre. France Télévisions s’est donc interrogé sur la manière dont les consommateurs peuvent s’assurer que les produits qu’ils consomment vont rémunérer correctement les agriculteurs.
Pour Denis Beauchamp, président de l’association FranceAgriTwittos, pour s'assurer d’une meilleure rémunération des agriculteurs, "le mieux, c'est le circuit court". Et circuit court dans sa définition en tant que “vente présentant un intermédiaire au plus”.
Pour Olivier Mevel, maître de conférence en sciences de gestion à l'université de Bretagne occidentale, “quand il achète les marques des distributeurs, le consommateur contribue malgré lui à entretenir un système qui donne la toute-puissance aux grandes surfaces”.
Autre solution : acheter une de ces marques vendues dans les grandes surfaces qui défendent une juste rémunération des agriculteurs comme “C’est Qui le Patron !?”.
Reste un problème souligné par Marie-Laure Allain, chercheuse au CNRS, "il est difficile pour les consommateurs d'obtenir des informations sur le partage des profits avec les agriculteurs”.
Les Echos, Lactalis : dans les coulisses de l'empire du lait, 23/02/2020
Alors que Daniel Jaouen, qui fut le directeur général du groupe pendant 32 ans sort un livre, « Lactalis à la conquête du monde », dans lequel il raconte comment le groupe français s’est hissé en quelques décennies à la première place mondiale, l’article propose un rapide historique de Lactalis.
On y apprend notamment que Lactalis a des origines remontant aux années 30, quand André Besnier, le fondateur, s’est lancé à 39 ans dans la fabrication de camemberts. A son décès, en 1955, l’entreprise réalisait 251 millions d'euros de chiffre d'affaires et comptait 50 salariés. C’est avec Michel Besnier, le père de l’actuel président, que le groupe a commencé à changer de dimension, avec un chiffre d’affaires qui a doublé en 2 ans suite à des rachats de laiteries et de fromageries. En 1968, ce dernier a également lancé deux produits phares du groupe : la brique de lait UHT et le Camembert Président. Au début des années 80, il se lance dans une politique de rachats aussi bien en France qu'à l'international.
A son décès en 2000, c’est son fils Emmanuel qui a pris la suite. Sous sa houlette, Lactalis a réalisé ses 3 acquisitions les plus déterminantes : Galbani pour 2 milliards d’euros en 2005, Parmalat en 2011 et l’activité de fromages de l’américain Kraft (hors Philadelphia) en 2020.
Les Echos, Du pain frais livré avant 6 heures 30... Baguette Box relève le défi, 25/02/2020
Zoom sur Baguette Box, une startup alsacienne lancée en 2019 et qui compte déjà près de 5.500 clients. Son principe : vous commandez en ligne avant 18h du pain, des viennoiseries ou des produits de boulangerie et Baguette Box vous les dépose avant 6h30 dans des boîtes placées devant les habitations.
Pour bénéficier de ce service, il faut souscrire un abonnement de 6,90 euros par mois et les produits de boulangerie sont facturés aux mêmes prix qu'en boutique.
Pour l’heure, Baguette Box propose ses services dans 350 communes et réalise environ 80 tournées, grâce à 150 livreurs embauchés en CDI quelques heures par jour et qui se déplacent à bord de véhicules hybrides et électriques.
L’entreprise cherche désormais à se développer selon 3 axes : étendre sa couverture territoriale, élargir sa gamme de produits et se développer en franchise. Baguette Box a déjà réalisé 2 levées de fonds pour un total de 1,4 million d'euros et vise la rentabilité à l'horizon 2023.
Le Figaro, Une étude alerte sur les «apports nutritionnels dégradés» en restauration rapide, 25/02/2021
Selon les conclusions d’une étude réalisée par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) l’amélioration de l'offre des fast foods devrait constituer une « priorité ».
Au niveau des apports en sucre, en sel et à cause de la taille des portions, les consommateurs qui fréquentent souvent les fast foods courent, en effet, le risque d'avoir des « apports nutritionnels dégradés ». Selon Carine Dubuisson, l'une des coordinatrices de l'étude, “Ce n'est pas tellement la quantité des nutriments qui va être différente, mais leur nature». Par exemple, les apports en sucres seront «davantage liés aux boissons sucrées» qu'aux fruits et les lipides viendront plus de produits transformés comme les quiches et pizzas.
Parmi les pistes d’amélioration suggérées : « élargir l'offre », en proposant par exemple des salades de fruits parmi les desserts, « travailler sur les tailles de portion » ou encore sur les recettes.
Les Echos, De plus en plus de consommateurs craquent pour le vrac alimentaire, 25/02/2021
Après avoir connu une croissance moins importante que les précédentes années en 2020 (+8 % contre +40 % entre 2018 et 2019) à cause d’un certain désamour de la part des consommateurs lors du premier confinement, le vrac alimentaire a retrouvé des couleurs depuis l’été dernier. Selon l’article, il devrait même connaître un rebond grâce au projet de loi Climat et Résilience. En effet, d’après le projet de loi, pour réduire les emballages plastiques, tout commerce de plus de 400 m2 devra consacrer 20 % de sa surface de vente au vrac d'ici à 2030.
Le vrac est désormais bien présent partout : 80 % des grandes surfaces et 45% des enseignes bio en proposent. A cela s’ajoutent les épiceries 100 % vrac. Pour Célia Rennesson de Réseau Vrac, le chiffre d'affaires de la filière devrait tripler d’ici 2022.
Signe que le vrac gagne en importance, même les grandes marques s'y mettent. A l’instar de Babybel ou Kellogg’s.
Ce succès sourit au réseau d’épiceries Day by Day, lancé en 2013, et qui compte désormais 72 boutiques proposant pas moins de 750 références, allant du riz au vin en passant par les produits d’hygiène.
Les Echos, Covid : comment les restaurants ont rouvert en Italie, 03/03/2021
L'Italie a choisi de réouvrir les bars et les restaurants dans les zones où la situation épidémiologique est sous contrôle. Le pays a ainsi divisé ses vingt régions selon l'évolution de la situation épidémiologique : Rouge (risque élevé), Orange (risque modéré) et Jaune (risque faible).
Dans les régions de la zone jaune (8 régions au total), les bars et les restaurants sont ouverts de 5 heures à 18 heures. Les restaurants peuvent par ailleurs proposer de la vente à emporter jusqu'à 22 heures.
Parmi les règles sanitaires à respecter :
du gel hydroalcoolique mis à disposition pour les clients et pour le personnel
la caisse doit être dotée de barrières physiques comme un écran en plexiglass
le paiement électronique à table doit être privilégié
les menus électroniques consultables sur les téléphones portables doivent être privilégiés
les serveurs sont obligés d’être masqués
la désinfection de la table est obligatoire après chaque service
entre chaque table une distance d'au moins un mètre doit être observée
un maximum de quatre personnes qui ne sont pas intimes par table
Le Point, Pourquoi il faut se méfier des écoscores : 18 députés donnent l’alerte, 24/02/2021
Dans cette tribune, 18 députés mettent en garde le consommateur qui, selon eux, “ne doit pas forcément faire confiance à la notation environnementale des denrées alimentaires initiée par des opérateurs privés”.
En effet, pour établir l’impact environnemental de ce que nous mangeons, la plupart des organismes se basent sur la méthode de l'analyse du cycle de vie (ACV). Or l'Ademe et certains instituts de recherche estiment que l'ACV ne retranscrit pas fidèlement l'impact environnemental des produits. Ainsi, elle ne prend par exemple pas en compte les pratiques agricoles qui permettent le stockage du carbone, la préservation de la biodiversité ou encore le faible usage d'intrants. Et l’article cite un exemple : une viande bovine française produite à partir d'herbe en bio ou en conventionnel dans nos massifs est, selon l’ACV, plus problématique qu'une viande bovine importée d'outre-Atlantique.
Ainsi, selon ces députés, “en l'état, ces écoscores ne correspondent pas à une réalité scientifique fiable et aboutie”.
Financial Times, Vegan milk maker Oatly targets $10bn IPO, 23/02/2021
Oatly, le fabricant suédois de lait végétalien a déclaré qu'il avait déposé une demande d'introduction en bourse auprès de la SEC américaine. Oatly viserait une valorisation de 10 milliards de dollars avec une cotation américaine qui profiterait à la fois du boom des introductions en bourse et de la soif croissante des consommateurs pour des alternatives végétales aux produits animaux.
Oatly a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 200 millions de dollars en 2019, soit à peu près le double de l'année précédente, et avait pour objectif de doubler à nouveau ses ventes en 2020, bien qu'aucun chiffre n'ait été rendu public.
Aux États-Unis, les ventes au détail totales de laits non laitiers ont augmenté de 23 % pour atteindre un montant estimé à 2,2 milliards de dollars en 2020. Les ventes d’alternatives au lait à base d'avoine ont triplé aux États-Unis en 2020, pour atteindre 288 millions de dollars, devançant désormais le lait de soja pour devenir le deuxième lait d'origine végétale. Le lait d'avoine signé Oatly a connu un certain succès avant la pandémie, avec une "édition barista" utilisée dans les cafés et qui produit une mousse similaire à celle du lait de vache pour les cappuccinos et les macchiatos.
New York Times, The TikTok Feta Effect, 26/02/2021
Ou comment une recette diffusée avec succès sur l’application TikTok a fait exploser la demande de feta à tel point que certains fromagers n’ont pu recevoir leur livraison hebdomadaire.
La recette en question est connue sous le nom de “baked feta pasta”. Il s'agit d'une sauce pour pâtes cuites au four extrêmement facile et crémeuse, faite d'un bloc entier de fromage de feta niché au milieu de tomates cerises, avec de l'huile d'olive, des piments et de l'ail. Le succès de cette recette remonte à 2018, lorsque la blogueuse culinaire finlandaise Jenni Hayrinen a réalisé ce qu’elle appelle “uunifetapasta”.
Mais le phénomène n’a pris son envol aux États-Unis qu’au début du mois de janvier dernier. Aujourd'hui, le hashtag #fetapasta compte plus de 600 millions de vues rien que sur TikTok.
Mi-février, alors que la feta était le terme de recherche numéro 1 sur l'application de livraison d'épicerie Instacart - le Charlotte Observer signalait des étagères de feta temporairement vides dans des magasins locaux comme les supermarchés Harris Teeter. Selon Danna Robinson, porte-parole de Harris Teeter, qui gère plus de 230 magasins dans sept États, la demande a augmenté de 200 %. La chaîne de supermarchés Kroger a également été prise au dépourvu. Walshe Birney, qui supervise les comptoirs de fromage de spécialité de Kroger a même déclaré “c'est la plus grande hausse de l'intérêt et des ventes d'un même produit que j'ai jamais vue à une telle échelle géographique”.
Vox, How chickens took over America’s dinner plates, in one chart, 19/02/2021
Un chiffre pour poser le contexte : chaque année, les Américains consomment 8 milliards de poulets.
L’article s’appuie sur un rapport récent commandé par la filière bovine américaine, qui s’intéresse initialement à la menace que les aliments d'origine végétale représentent pour l'industrie du boeuf. Ce qui au final ressort le plus du rapport, c'est la forte augmentation de la consommation de poulet en Amérique. La consommation de poulet par habitant a grimpé en flèche depuis 1970 (+160%) alors que dans le même temps celle de boeuf a chuté de 31%. Ainsi, alors qu’en 1970, un américain mangeait en moyenne environ 50 livres (22,7 kg) de poulet par an, aujourd'hui, c'est plus de 100 livres.
Et comme le dit l’auteur, si d'un point de vue environnemental, l'augmentation de la consommation de poulet au détriment du bœuf est une bonne nouvelle (car l'élevage intensif de poulets ne produit pas autant de gaz à effet de serre que l'élevage intensif de bœufs), du point de vue du bien-être animal ce n’est pas une bonne nouvelle (la plupart des poulets passent chaque minute de leur courte vie dans des espaces intérieurs surpeuplés et remplis d'ammoniac, ils sont élevés pour grandir trop vite, ce qui exerce une pression sur leurs articulations…).
D’après le rapport, le prix n'est pas le seul facteur à l'origine de la hausse de la consommation de poulet, et en fait, l'analyse suggère que le prix en explique moins de la moitié. Les raisons liées à la santé y ont également contribué, le poulet étant généralement considéré comme une viande plus saine, moins riche en graisses et en cholestérol.
Le rapport conclut que, “pour voler le trône du poulet, les entreprises du secteur des substituts végétaux devront probablement convaincre les consommateurs de leurs bienfaits pour la santé et l'environnement, ainsi que pour la sécurité alimentaire”.
Financial Times, In the test-kitchen with ‘Spotify for foodies’, 01/03/2021
En matière de recettes de cuisine il existe des applications telles que l’application de cuisine du New York Times (qui propose des recettes tirées des pages de ce journal) ou encore Cooked mais celle que l’auteur de cet article met en avant s’appelle Ckbk. Il s’agit d’une appli sur abonnement 5,49€ par mois qui se présente comme un "Spotify pour livre de cuisine".
Ckbk rassemble des documents du monde entier, avec plus de 100 licences partenaires. Et, contrairement à l’application Eat Your Books, qui renvoie à des versions en ligne gratuites de recettes de cuisine, Ckbk offre un accès complet au contenu des livres (pas seulement aux listes d'ingrédients) et présente des centaines de titres presque introuvables ailleurs. Son inventaire actuel (en rapide augmentation) se compose d'environ 500 livres (ou 100 000 recettes), dont un peu moins de la moitié sont épuisés. L’appli permet une recherche par ingrédient, plat, auteur, titre, cuisine, plat, complexité, époque et régime.
France Télévisions, Nina Métayer (cheffe pâtissière) : "Ne pas avoir de fraises dans une pâtisserie en hiver, c'est un gage de qualité", 26/02/2021
Une interview de la jeune cheffe pâtissière Nina Métayer, qui fait partie d'une nouvelle génération qui revisite son métier. Elle ne possède par exemple pas de magasin en physique. Ses produits se commandent en ligne, sur le site delicatisserie.com et il est possible de se les faire livrer (dans certains arrondissements de Paris uniquement) ou de les retirer en click & collect dans certains endroits. Comme elle l’explique, “nous fonctionnons uniquement en pré-commande donc cela permet de mieux gérer les stocks et les équipes”.
Elle insiste également sur le respect des saisons et, selon elle, “c'est une aberration de manger des fraises en hiver. Il n'y en a pas en France à cette saison alors qu'il y a beaucoup d'autres produits”.
Big up à La Belle Vie pour cette superbe performance!
Quand le ministre de l’agriculture se la joue VRP de luxe
Une polémique sur le vrac sur LinkedIn
Eat’s Business #8 | Pause déjeuner face à la Covid-19, les défis d'Alexandre Bompard pour Carrefour et LVMH x le Champagne de Jay-Z, 02/03/2021
Découverte d’un nouveau podcast grâce à Fulguropain. Il est dédié aux “boulanger.e.s qui font bouger les codes de la boulangerie” et propose “le meilleur de l’actualités blé, farine et pain”. Il se nomme Pain et Pétrin.
C’est tout pour aujourd’hui.
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A la semaine prochaine!
O. Frey