🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2021-7
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Le Figaro, Alimentation: le retour de la guerre des prix, 14/02/2021
Republik Retail, Découvrez Picnic, le néerlandais qui casse les règles de l’e-commerce alimentaire, 05/02/2021
BBC News, Coca-Cola company trials first paper bottle, 13/02/2021
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
Le Figaro, Alimentation: le retour de la guerre des prix, 14/02/2021
A deux semaines de la fin des négociations commerciales entre les distributeurs et les industriels de l’agroalimentaire, l’article nous apprend que “les désaccords sont légion” et que “le ton monte”.
Le contexte est en effet particulier avec, d’un côté, la crise économique qui incite les acteurs de la grande distribution à maintenir des prix bas en rayon alors que, de l’autre côté, les industriels sont confrontés à la hausse des cours des matières premières, qui pèse sur leurs coûts de production.
Industriels et distributeurs se rejettent la balle. Pour les premiers, les demandes quasi systématiques de déflation de la part des seconds sont « injustifiées ». Pour les seconds, les premiers ont des demandes « irréalistes » de 3% à 4% de hausse de tarifs en moyenne.
La situation est telle que le Ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, est monté au créneau et a averti les acteurs de la grande distribution ainsi que les industriels que “en poussant les prix à la baisse, (ils sont en train) de creuser (leur) tombe”. L’article nous apprend également que le ministre souhaite introduire davantage de transparence dans les négociations. Il estime, en effet, que les distributeurs seraient plus enclins à accepter des revalorisations si les industriels indiquaient clairement combien ils paient aux agriculteurs, ce que beaucoup refusent de faire.
Le Parisien, “Guerre des prix entre producteurs et grandes enseignes : «Le combat de David contre Goliath»”, 15/02/2021
Alexis Vaillant, le président-fondateur d’Alterfood prend la parole pour dénoncer les conditions dans lesquelles se déroulent les négociations commerciales 2021, qu’il voit comme le combat de David contre Goliath.
Si, selon lui, il ne faut pas mettre tous les distributeurs dans le même panier et qu’Alterfood a réussi à ne pas trop céder de terrain au niveau des prix, un distributeur a été jusqu'à baisser de 45% le volume des assortiments, ce qui entraîne mécaniquement une baisse de chiffre d’affaires de 500 à 700 000 euros, soit environ 10% des ventes de l’entreprise.
Les Echos, Des actionnaires veulent que les supermarchés Tesco combattent l'obésité, 10/02/2021
Alors que le Royaume-Uni est l'une des nations qui compte le plus de personnes obèses parmi sa population, les actionnaires de la plus grande chaîne de supermarchés du pays, Tesco, ont prévu de déposer une résolution “sanitaire” lors de la prochaine assemblée générale.
Ils comptent ainsi demander au groupe de dévoiler la part que représente la vente des aliments et boissons les plus sains à partir de 2022 et de faire en sorte qu'elle augmente d'ici 2030.
Pour passer, cette résolution doit être adoptée par 75 % des votes des actionnaires lors de l'assemblée.
Comme le rappelle l’article, certaines entreprises américaines, parmi lesquels Coca-Cola, Pepsi et McDonald's ont fait face à des demandes similaires de la part des actionnaires, notamment sur leur utilisation du sucre dans leurs produits.
Business Insider, Comment Amazon va changer son offre alimentaire et s'associer avec Monoprix, 12/02/2021
Cinq ans après son arrivée sur le secteur alimentaire en France, Amazon vient de tirer le bilan de son activité. Et il semblerait que ce dernier ne soit pas si positif que cela car le géant américain a décidé de réorienter son organisation sur la vente de produits alimentaires dans l'Hexagone.
Comme l’explique l’article, jusqu'à maintenant, pour acheter un produit alimentaire Amazon, il fallait passer par l'option Prime Now, un service de livraison payant garantissant la livraison en moins de deux heures à Paris, une partie de la banlieue parisienne, Bordeaux, Lyon ou encore Nice. Le groupe utilisait pour ce faire 10 entrepôts en France dédiés exclusivement à la livraison des produits alimentaires.
Mais un de ces entrepôts, situé dans le 18ème arrondissement de Paris, va changer son organisation pour devenir une sorte de station de livraison consacrée à la livraison via mobilité douce. Par ailleurs, le groupe a annoncé un autre changement important : d'ici le mois d'avril prochain, Amazon Retail va s'arrêter en France pour les produits alimentaires. En clair, cela signifie qu’Amazon va stopper l'achat et la vente de ce type de produits et donc abandonner son rôle de distributeur alimentaire.
A partir d’avril, Amazon va quasi uniquement s'appuyer sur l'offre de Monoprix en proposant à terme 7 000 références, dont 1 600 vendues sous les différentes marques propres Monoprix.
Republik Retail, Découvrez Picnic, le néerlandais qui casse les règles de l’e-commerce alimentaire, 05/02/2021
Un article intéressant sur Picnic, un acteur majeur du e-commerce alimentaire en Hollande qui lorgnerait le marché français. On y apprend notamment que sa part de marché serait passée de 6% en 2017 à environ 22% en 2020, avec un chiffre d’affaires estimé de 550 millions d’euros.
Le fonctionnement de Picnic possède quelques particularités intéressantes :
pour être client, il faut que l’adresse se trouve sur une tournée et il faut que le créneau de livraison, qui est fixe, convienne. Cela lui permet de bien maîtriser le dernier kilomètre
l’assortiment est très court (environ 7000 références)
l’offre se concentre sur les besoins des familles urbaines avec enfants
l’entreprise a conçu son propre camion de livraison, avec des roues qui tournent à 90 degrés pour faciliter les manœuvres en milieu urbain et se garer facilement. Sa conception a été pensée pour un déchargement rapide des bacs. Ainsi, “la livraison se fait en 3 mn contre 12 mn pour son concurrent Albert Heijn”.
Les Echos, Friteuse, robots de cuisine, machine expresso… Le Covid a dopé les ventes d'électroménager, 13/02/2021
En 2020, la crise sanitaire et la fermeture des cantines et restaurants a profité au secteur du petit électroménager. Parmi les succès notables : les robots multifonctions (+24 %), les robots dédiés à la pâtisserie (+48 %), les friteuses (+25,5 %), les machines à pain (+82 %), et les appareils à fondue, raclettes et autres planchas (+21 %).
Au global, les ventes d’électroménager ont progressé de 5 % dans l'Hexagone, à plus de 9 milliards d'euros.
Les Echos, C'est qui le patron ? ! veut convertir d'autres marques à sa démarche, 12/02/2021
Les 10 500 sociétaires de la coopérative C'est qui le patron ? ! ont récemment validé à une quasi-unanimité la mise à disposition à tous les fabricants de produits alimentaires qui le demandent de l'ensemble des cahiers des charges, définis pour répondre aux critères de la marque. Les industriels qui souhaitent s’adosser à ce cahier des charges devront en échange accepter les conditions de contrôle et de transparence qui font la valeur de C'est qui le patron ? !
L’article nous apprend par ailleurs que la marque commercialise désormais 21 produits et qu’elle en a vendu 250 millions depuis son lancement en octobre 2016. Enfin, son volume d'affaires a progressé de 13 % en 2020, à près de 102 millions d'euros.
Le Monde, « Une tendance forte chez les jeunes » : le végétarisme, nouveau marqueur générationnel et social, 16/02/2021
Un article intéressant sur la montée du végétarisme chez les jeunes. Car, si le végétarisme reste tout de même marginal au sein de la population française, il s’agit d’une tendance en croissance chez les jeunes. Selon Olga Davidenko, maîtresse de conférences à AgroParisTech, « diminuer sa consommation de viande – sans pour autant vouloir devenir complètement végétarien – est une tendance forte chez les jeunes ».
Pour certains adolescents qui basculent dans le végétarisme, c’est la prise de conscience écologique qui est le déclencheur. Comme l’explique l’article, ils suivent des comptes d’associations et de personnalités, notamment le journaliste Hugo Clément, sur les réseaux sociaux. Pour Laurent Bègue-Shankland, professeur de psychologie sociale à l’université Grenoble-Alpes, « le végétarisme se développe beaucoup plus chez les jeunes, car ils sont plus conscients que leurs aînés des conséquences de l’alimentation carnée ».
Une enquête menée en 2020 par le Refedd (Réseau français étudiant pour le développement durable) auprès de 50 000 jeunes a montré que 73 % des étudiants « ont diminué leur consommation de viande et de poisson ou souhaitent le faire » et qu’ils sont 11 % à avoir adopté un régime végétarien.
Autre fait intéressant : le végétarisme serait lié au niveau d’étude. Ainsi, une étude IFOP menée auprès de jeunes actifs de 25 à 39 ans pour l’ouvrage “Génération surdiplômée” a montré que plus on est diplômé, plus on a de chances d’adopter un régime végétarien.
Le Monde, Agriculture urbaine, chambres froides, stockage de colis… la nouvelle vie des parkings souterrains, 16/02/2021
Alors que les voitures désertes de plus en plus les centres ville, les parkings souterrains retrouvent une nouvelle vie. A Paris, par exemple, l’article nous apprend que Indigo et Effia, les deux leaders du stationnement, ont enregistré une baisse de 30 % de la fréquentation horaire ces dernières années. Ces parkings intéressent notamment les entreprises spécialisées dans l’approvisionnement des villes qui les utilisent comme des dark stores (voir la newsletter de la semaine dernière sur ce sujet). C’est le cas par exemple de monmarche.fr, qui utilise le niveau -1 d’un parking de l’Ile de la Cité à Paris à partir duquel “une trentaine de salariés préparent et livrent à vélo des paniers dans un rayon de 500m”. A la Porte de La Chapelle, l'entreprise d'agriculture urbaine Cycloponics fait pousser des champignons dans un parking situé sous un immeuble de logements sociaux.
Et pour les entreprises qui gèrent ses parkings l’opération s’avère également intéressante car, comme l’explique l’article, la rentabilité des m2 loués est au moins égale à celle d'une place de stationnement. En conséquence, Indigo va équiper cinquante sites dans toute la France en chambres froides, casiers pour artisans ou consignes Amazon.
LSA, Sodebo se lance à l’assaut du marché de l’apéritif frais, 12/02/2021
Pour la PME familiale Sodebo, spécialiste des produits traiteur, l’année 2020 est une année à oublier. L’entreprise a, en effet, enregistré une chute historique de ses ventes de -7% en valeur sur l’année. Et avec le développement du télétravail et la fermeture des bureaux ce sont évidemment les produits snacking de Sodébo, très implantés sur le créneau de la pause-déjeuner avec ses salades, ses sandwichs et ses box, qui ont le plus souffert.
En mars 2021, Sodebo se lancera sur le marché de l'apéritif frais avec une offre qui s'articulera autour de 7 références (4 bouchées, 2 croustillants et une référence de croquetas). Sodebo souhaite également mieux faire connaître son ancrage en Vendée et son statut de PME familiale car, comme le précise Philippe Rondeau, responsable marketing, « trop peu de gens connaissent Sodebo qui est une entreprise française et nos engagements à améliorer nos produits ».
Libération, Dans le milieu du vin, « dès qu’on est étiquetée féministe, on est d’office une emmerdeuse », 12/01/2021
Une enquête sur le sexisme ordinaire dans un milieu qui reste encore en majorité masculin. Elle est partie de 2 plaintes déposées pour injures à caractère sexiste, l’une par Fleur Godart, distributrice de vins naturels, et l’autre par Sandrine Goeyvaerts, caviste et journaliste.
Si l’article nuance en mettant en avant le fait qu’il y a désormais “plus de femmes dans les vignes, au chai, à la vinification, dans les caves à vin, les restaurants et les écoles de sommellerie”, il fait également le constat que “sur les étiquettes des bouteilles et dans les salons, c’est encore une majorité d’hommes qui se partagent les feux des projecteurs”.
Au delà de détails plutôt pitoyables sur le comportement de certains hommes dans ce milieu, il y a manifestement encore du chemin à faire pour que les femmes soient reconnues pour leurs compétences.
BBC News, Coca-Cola company trials first paper bottle, 13/02/2021
Alors que Coca-Cola a été classé premier pollueur de plastique au monde par l'association caritative Break Free From Plastic, le groupe a annoncé qu'il allait tester une bouteille en papier. Le concept concernera dans un premier temps sa marque de boisson aux fruits Adez.
Le prototype est fabriqué par l’entreprise danoise Paboco à partir d'une coque en papier extra-forte qui contient encore une fine doublure en plastique. L'objectif est de créer une bouteille sans plastique, 100% recyclable, capable d'empêcher les gaz de s'échapper des boissons gazeuses.
Pour Paboco, l’un des défis a consisté à créer une bouteille capable de résister aux forces exercées par les boissons gazeuses (soda, bières…) qui sont embouteillées sous pression. Il s’agit également de garantir qu'aucune fibre de papier ne s'écaille dans le liquide car cela risquerait d'altérer le goût de la boisson ou de compromettre les contrôles de santé et de sécurité.
Mais même si les tests se déroulent parfaitement, le vrai défi consiste à se débarrasser complètement du plastique. Comme le papier ne peut pas entrer en contact direct avec les liquides, il est prévu d'utiliser un revêtement à base de plantes à l'intérieur de la bouteille.
Washington Post, The efficiency curse, 05/02/2021
Un article très intéressant qui fait une analyse critique de l’efficacité supposée du système alimentaire américain, qui a tellement été optimisé au cours des dernières décennies qu’il a révélé ses failles en période de pandémie.
Partant de l’exemple du papier toilette, l’auteur de l’article, Michael Pollan, explique qu’il est apparu clairement lors de la crise sanitaire qu’il existe deux chaînes d'approvisionnement distinctes : la première, qui apporte de petits paquets de papier toilette de haute qualité à votre supermarché local, tandis que la seconde livre d'énormes rouleaux aux bureaux, aux écoles, aux restaurants ou encore aux prisons. Cette dernière chaîne est très spécialisée et efficace, mais aussi très fragile. La chaîne alimentaire américaine a été confrontée au même problème.
Ainsi, une partie du lait produit aux Etats-Unis est conditionnée dans des boîtes géantes livrées par camion aux écoles ou dans les cafétérias. Ce lait est vendu à très bas prix grâce aux économies d'échelle. Mais lorsqu’il a fallu prendre tout ce lait, le mettre dans des récipients plus petits et le réacheminer vers les consommateurs dans les supermarchés, le système n'a pas pu le faire. Ainsi, comme il le dit bien “en temps de crise, la résilience compte plus que l'efficacité”. Si, selon lui, “l'efficacité est une chose merveilleuse. Elle peut se traduire par des avantages tels que des prix plus bas et une meilleure utilisation des ressources. Mais un système hyperspécialisé est plus vulnérable aux perturbations ; il n'est pas résilient”.
Autre exemple frappant qu’il met en avant : avec la pandémie qui l’a mise temporairement à l’arrêt, les consommateurs américains ont découvert qu'une usine du groupe Smithfield produisait à elle seule 5 % de toute la viande de porc consommée aux Etats-Unis.
Financial Times, Heineken aims for a less beery, blokey look, 14/02/2021
Comme l’explique l’article, le deuxième brasseur mondial veut regarder au-delà de son public traditionnel, dominé par les hommes, et au-delà de la bière.
Le nouveau DG Dolf van den Brink a en effet déclaré que le groupe allait renforcer ses efforts de marketing pour les bières sans alcool et à faible teneur en alcool, le cidre et les "hard seltzers" afin d'attirer une clientèle féminine et plus jeune.
Il compte notamment s’appuyer sur sa marque de bière sans alcool Heineken 0.0 et estime qu’elle pourrait représenter 5% de l'ensemble du marché mondial de la bière dans 5 à 6 ans. Van den Brink a par ailleurs admis que le groupe est arrivé "relativement tard" sur le segment des hard seltzers, qui ont pris d'assaut les États-Unis et que, depuis septembre, les marques Pure Piraña et Amstel Ultra Seltzer ont été lancées.
Enfin, la consommation de bière est, selon lui "sous-développée" chez les femmes et les jeunes consommateurs et Heineken cherche à les séduire "en étant créatif et innovant". Heineken a lancé des versions moins alcoolisées de ses grandes marques, telles que Heineken Silver et Tiger Crystal.
Enfin, l’article rappelle que la pandémie a fortement impacté le secteur, avec une chute de 10% de la consommation mondiale de bière en 2020, selon Euromonitor.
Wall Street Journal, Tariffs on Wine, Food From Europe to Stay for Now, U.S. Says, 12/02/2021
Les espoirs de nombreuses entreprises européennes viennent d’être douchés. L'administration Biden a en effet affirmé qu'elle ne mettra pas fin de sitôt aux droits de douane imposés sur les importations de vin, de fromage et d'autres produits alimentaires européens. Ces prélèvements avaient été imposés par l'administration Trump dans le cadre d'un différend de longue date avec l'Union européenne sur les subventions à Airbus et Boeing.
Fin 2019, Washington avait ainsi établi des droits de douane sur des vins et des produits alimentaires européens comme le fromage et les olives, pour une valeur de 7,5 milliards de dollars. En représailles, l'UE avait riposté avec des taxes sur le whisky, les noix et le tabac américains pour une valeur d'environ 4,5 milliards de dollars. Le 31 décembre dernier, les États-Unis ont renforcé les sanctions en imposant des droits de douane supplémentaires, soumettant la quasi-totalité des importations de vin en provenance de France et d'Allemagne à des droits de douane de 25 %.
Le Furet du Retail, Amazon n’est vraiment plus à l’aise avec la vente en ligne de produits alimentaires. Une confirmation ?, 11/02/2021
Une analyse de l'activité de vente en ligne de produits alimentaires d’Amazon en France et aux Etats-Unis réalisée par un des experts du secteur.
Les amis de chez Malou lancent la MalouApp, une solution tout-en-un qui aide les restaurateurs à augmenter leur visibilité en ligne pour convertir plus de clients.
Un épisode du podcast de Sempaï pour en découvrir un peu plus sur l’une des success story de 2020, l’entreprise de livraison de courses à domicile La Belle Vie. Il s’agit d’un entretien avec Paul Lê, l’un des co-fondateurs, qui revient notamment sur la montée en flèche de son activité alors que tout le pays était confiné.
Un concours intéressant avec quelques curiosités comme ce distributeur automatique de raclette
Picard continue de déployer son offre de snack bar connecté
Nestlé se lance dans des déclinaisons vegan de certains de ses produits phares
La fermeture des bars et restaurants se prolongeant sans perspective de réouverture à court terme, les brasseurs s’inquiètent légitimement pour leurs stocks
Eat’s Business #6 | Dark stores, étudiants en situation précaire et chocolat Louis Vuitton, 16/02/2021
C’est tout pour aujourd’hui.
Si vous appréciez cette newsletter n’hésitez pas à la partager.
Et si vous voulez vous pouvez même me payer un café ;-)
A la semaine prochaine!
O. Frey