🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2021-4
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Nous venons de franchir la barre des 1 000 inscrits. Merci à toutes et à tous pour vos retours sympathiques et merci à toutes celles et tous ceux qui m’ont approvisionné en cafés ces dernières semaines. Un grand merci également à celle qui relit cette newsletter toutes les semaines pour corriger les fautes. Enfin, j’espère que les nouvelles évolutions de ce début d’année vous ont plues.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Bloomberg, Cultured Fish May Go From Lab to U.S. Plates This Year, 19/01/2021
Wall Street Journal, PepsiCo, Beyond Meat Form Plant-Based Foods Venture, 26/01/2021
The Economist, An online sales boom is killing supermarket profits, 23/01/2021
Just Food, Why Chocolate’s makers sugar-reduction quest is so challenging, 14/01/2021
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
Le Figaro, La fermeture des restaurants profite à la viande française, 22/01/2021
Alors que près de 20 % de la viande bovine française est vendue aux restaurants et aux cantines, la fermeture de ces établissements suite au confinement a été, dans un premier temps, un coup dur pour la filière viande bovine.
Mais au final, la filière française a moins souffert qu’anticipé. D’une part, la consommation de viande bovine, tous circuits confondus, n’a baissé que de 2,3 % en France sur les dix premiers mois de 2020. D’autre part, ce sont avant tout les filières d'importation qui ont souffert. L’explication est simple : comme le souligne Matthieu Repplinger, en charge de la section bovine d'Interbev, « la restauration collective et commerciale (…) consomme beaucoup de viande étrangère ». De son côté, la consommation de viande bovine française a augmenté de 1,6 % entre janvier et octobre 2020. De plus, les bouchers ont profité du regain d'attrait des consommateurs pour les commerces de proximité et ont vu leurs ventes augmenter en moyenne de 10 % en 2020.
France Inter, Un supermarché différent : à la Louve, quand la coopération s'empare de la consommation, 22/01/2021
Une émission à écouter en replay sur le supermarché coopératif La Louve, situé à Paris. Ouvert en 2016, à l’initiative de Tom Boothe et Brian Horihan, deux Américains installés à Paris, La Louve compte désormais près de 5000 membres actifs.
Son modèle est inspiré de celui de la Park Slope Food Coop, qui a été lancée il y a près de 45 ans à Brooklyn. Ainsi, pour pouvoir faire ses courses à la Louve il faut dans un premier temps devenir sociétaire et souscrire des parts de capital social (100 euros, ou dix euros pour les bénéficiaires des minimas sociaux. Par la suite, chaque sociétaire doit consacrer trois heures par mois à la coopérative pour tenir la caisse, remplir les rayons ou encore faire du nettoyage. A noter également que ce sont les sociétaires qui décident du choix des produits proposés dans le magasin.
En 2020, La Louve a réalisé un chiffre d’affaire de 7,5 millions d’euros (pour une surface de vente de 750 m2) et un bénéfice d’environ 120.000 euros. Elle compte 12 salariés. Et depuis son ouverture, La Louve a inspiré d’autres supermarchés de ce type à travers la France.
Challenges, Auchan, Intermarché, Monoprix... Pourquoi la grande distribution s'est mise aux pubs larmoyantes, 26/01/2021
Vous l’avez probablement tous remarqué, les pubs des acteurs de la grande distribution sont de plus en plus scénarisées et calibrées pour faire du buzz positif sur les réseaux sociaux. Alors que la grande distribution n’a eu le droit de faire de la publicité télé qu’à partir de 2007, l’argumentaire a pendant 10 ans été centré avant tout sur la guerre des prix.
Mais désormais les thématiques mises en avant dans les spots publicitaires des acteurs de la grande distribution ont évolué. Exit le prix ou le produit et place à l’amour, l’amitié et la famille. Et c’est Intermarché qui a été le premier à se lancer sur ce nouveau style de communication avec son court-métrage publicitaire L’Amour, l’amour sorti en 2017.
Europe 1, Le mille-feuille, ce gâteau qui cartonne depuis le 17e siècle (et porte mal son nom), 23/01/2021
Un article sur un des classiques de la pâtisserie française. On y apprend que les premières traces de ce gâteau remontent au 17e siècle, dans l'un des ouvrage du cuisinier français François Pierre de la Varenne (1618 - 1678). Dans cette recette originelle la crème est aromatisée au kirch et au rhum. Il a commencé à connaître le succès en 1867 grâce à la pâtisserie d'Adolphe Seugnot, rue du Bac à Paris.
Enfin, son nom provient de son montage particulier comprenant 3 étages et un nombre élevé de feuillets de pâte entre chaque couche de crème. Mais, comme le précise l’article, il n'y a pas mille feuilles mais 729 très précisément.
LSA, Surgelés : Findus sur le haut de la vague en 2020, 22/01/2021
Alors que le marché du surgelé a très bien performé en 2020 (+13,1 %), Findus, le leader du marché, a bien tiré son épingle du jeu. L’entreprise a gagné 0,3 point de part de marché à 10,1 % et plus de 500 000 foyers sur le second semestre 2020, avec un taux de pénétration de 26,1 %.
Si les produits phares de la marque tels que les panés, les poissons natures et les épinards se sont bien vendus, Findus met également en avant le lancement réussi de sa gamme végétale, Green Cuisine qui a séduit plus de 500 000 foyers en 8 mois.
L’Usine Nouvelle, Tetra Pak annonce la date de sa brique 100 % carton (et ce n’est pas pour tout de suite), 15/01/2021
Alors qu’une brique Tetra Pak est actuellement composée d’un peu plus de 70% de papier carton issu de forêts labellisées FSC, d’environ 25% de plastique avec une part croissante de végétal, et de près de 5% d'aluminium, le leader de la brique alimentaire travaille sur une brique entièrement en papier-carton. Mais, comme l’annonce l’article, celle-ci appartient à la grande famille des "emballages plastiques à usage unique" que la France veut supprimer d'ici à 2040.
Pour faire face à la transition écologique et à l'adaptation à l'évolution de la législation, le groupe suédois a investi 180 millions d'euros en 2019 et 2020 (sur un budget R&D annuel de 500 millions d'euros). Ainsi, selon Chakib Kara, directeur général de Tetra Pak France et Benelux, en 2030, la brique sera "renouvelable, recyclable et zéro carbone".
Mais la brique tout en carton ne sera pas disponible avant 2040 et, d'ici là, la composition de la brique alimentaire évoluera de manière incrémentale avec une part de polyéthylène d'origine fossile qui diminuera, au profit du bioplastique issu de la canne à sucre.
Les Echos, Le vin bio, l'exception d'un marché mondial en récession, 24/01/2021
Alors que la demande en vin conventionnel est orientée à la baisse depuis quelques années, celle du vin bio se porte bien.
Selon l’article, 5 pays dans le monde (Italie, France, Espagne, Etats-Unis et Allemagne) consomment à eux seuls plus de la moitié du vin bio.
Par ailleurs, selon une étude de Millesime Bio, la France devrait devenir le premier consommateur de vin bio en 2021 avec une bouteille sur cinq du total de vin bio consommé dans le monde. Au niveau de la production, le vignoble bio est passé de 9 % du total du vignoble en 2013 à 16 % en 2020, selon Nicolas Richarme, président du salon du vin bio de Montpellier.
Si les conditions de production du vin bio sont plus compliquées, le vin bio se vend 30 % plus cher au consommateur que le vin conventionnel. L'essentiel de l'offre bio en France se fait sous appellation et une bouteille sur deux est vendue en direct.
Marketing PGC, Faites un “bio geste” avec Paysan Breton, 21/01/2021
Une initiative intéressante de la marque Paysan Breton, qui lance l’opération « Faite un Bio geste » dont l’objectif est d’associer les consommateurs au développement et à la pérennité du bio en France.
Le principe : pour deux produits surgelés Paysan Breton bio achetés entre janvier et décembre 2021, 1m² de terre est convertie en bio.
La marque vise 500 000 m² convertis à la bio grâce à un million de produits bio achetés et, tout au long de l’opération, les consommateurs pourront suivre l’évolution du nombre de produits achetés et les actions mises en œuvre.
RTL, Consommation : "C'est qui le Patron ?" va reverser l'intégralité de ses bénéfices, 27/01/2021
Une initiative positive qui mérite d’être mise en avant. La marque "C'est qui le Patron ?" a décidé de reverser 100% de ses bénéfices 2020. Les sociétaires de la coopérative ont, en effet, créé un fonds de solidarité qui vient en aide aux producteurs, mais aussi à des commerçants qui ont subi des fermetures administratives. Il s’agit d’un coup de pouce de plus d'un million et demi d'euros.
Konbini, Alerte burger : les mythiques buns Martin’s Potato Rolls sont enfin disponibles à Paris, 18/01/2021
Si, comme moi, vous êtes parisien, fan des burgers de chez Shake Shack et que New York vous manque, Konbini a trouvé la solution pour vous.
En effet, les fameux buns de chez Martin’s Potato Rolls, le fournisseur de Shake Shack, sont désormais disponibles à la vente chez l’épicerie SuperFrais, pour 18,50 euros le sachet de 12 petits pains.
Capital, Le fabricant du Thermomix a fait saisir des Monsieur Cuisine Connect chez Lidl France, 21/01/2021
Sur un marché en plein boom, on assiste depuis quelques semaines à une véritable “kitchen-robots war”. En effet Vorwerk, le fabricant du Thermomix, a obtenu le retrait de la vente des Monsieur Cuisine Connect fabriqués par Lidl en Espagne. Selon l’article, cette décision pourrait bien faire boule de neige et Vorwerk France aurait lancé une procédure similaire dans plusieurs pays, dont la France.
Vorwerk accuse Lidl de contrefaçon et lui reproche de s’être un peu trop inspiré de son Thermomix pour créer son robot cuiseur.
En tout il y a clairement une différence au niveau du prix : celui de Lidl est vendu à 329 euros contre plus de 1 300 euros pour le dernier modèle Thermomix de Vorwerk.
The Economist, An online sales boom is killing supermarket profits, 23/01/2021
Un article sur les conséquence de la crise du Covid-19 sur la grande distribution au Royaume-Uni. Comme en France, les grandes chaînes britanniques ont profité de la fermeture des bars et des restaurants. Ainsi, Tesco a enregistré une hausse de 7,2 % de ses ventes en termes de volume au cours du dernier trimestre 2020, soit la plus forte hausse depuis des décennies. De son côté, le numéro deux du secteur, Sainsbury's, a vu ses ventes augmenter de 8,6 %.
Mais qui dit hausse de chiffres d’affaires ne signifie pas forcément hausse des bénéfices. Ainsi, Sainsbury's s'attend à un bénéfice “d'au moins 330 millions de livres” pour l’exercice 2020, contre 586 millions de livres l'année précédente. Tesco s'attend à ce que les bénéfices soient à peu près les mêmes en 2020 que l'année précédente. Plusieurs explications à cette baisse des marges : des absences de personnel, coûts liés à la mise en conformité des magasins avec les normes de sécurité ou encore impact du Brexit. Mais, selon l’article, le plus gros impact sur la rentabilité provient du passage de la vente physique à la vente en ligne. Ainsi, les commandes en ligne ont augmenté de 128 % chez Sainsbury's et représentent désormais 18 % des ventes d'épicerie. Chez Tesco, elles ont augmenté de 80 %.
L’article rappelle par ailleurs que les Britanniques étaient déjà les champions des achats d’épicerie en ligne avant la pandémie, avec une part d'environ 7 %, contre 5 % en France et moins de 2 % en Allemagne, en Italie et en Espagne.
La concurrence étant rude sur ce segment, la bataille se joue sur les frais de livraison. La plupart des enseignes ne font payer que 99 pence pour les livraisons de commandes supérieures à 40 livres et les offrent pour les commandes plus importantes. Mais, si cette situation était viable lorsque le volume des ventes en ligne était relativement faible, ce boom de la croissance des ventes en ligne impacte les marges.
Just Food, Why Chocolate’s makers sugar-reduction quest is so challenging, 14/01/2021
Un article intéressant sur le défi que représente la réduction de la teneur en sucre du chocolat. Comme le rappelle l’article, en plus d'apporter de la douceur, le sucre remplit des fonctions de gonflement, de conservation et de stabilisation, tout en jouant un rôle dans la création de sa texture et de sa sensation en bouche.
Ainsi, l'élimination ou la réduction du sucre dans le chocolat nécessite la restauration de toutes les propriétés fonctionnelles ou gustatives perdues. Or, en dépit des progrès réalisés au cours des décennies, les solutions pour réduire le sucre dans le chocolat ont toutes été jugées non satisfaisantes. Néanmoins, un nombre croissant de produits de chocolat sans sucre ou à teneur réduite en sucre ont été mis sur le marché, utilisant des approches existantes et nouvelles pour remplacer le sucre. Mais, Nestlé s’y est par exemple cassé un peu les dents. Les “Milkybar Wowsomes”, qui revendiquaient une teneur en sucre inférieure de 30 %, ont été abandonnés en février 2020 après deux années "décevantes" sur les marchés britannique et irlandais. Nestlé a également supprimé deux autres produits à teneur réduite en sucre : le KitKat Chunky More à la framboise et à la noisette et le Yorkie More à l'avoine, à la pomme et à la cannelle. Toutefois, selon un article du New Yorker, dont nous parlions ici, le groupe travaille sur un nouveau système de réduction du sucre qui impliquera une fermentation.
Autre fait intéressant : la chimie unique du chocolat entraîne qu'une réduction du sucre n'équivaut pas à une baisse similaire des calories. En effet, le fait de retirer le sucre sans le remplacer augmente automatiquement le nombre de calories car les graisses ont neuf calories par gramme contre quatre calories pour le sucre. Comme l’explique Steve Osborn, directeur du cabinet de conseil en technologie alimentaire Aurora Ceres Partnership, "si vous retirez 1% de sucre du chocolat, vous modifiez toute la composition d’une barre de chocolat. Vous allez augmenter la part relative de matières grasses. Ainsi, la densité nutritionnelle augmente au moment où vous réduisez le sucre dans une barre de chocolat".
Wall Street Journal, PepsiCo, Beyond Meat Form Plant-Based Foods Venture, 26/01/2021
Le partenariat qui va beaucoup faire parler de lui dans les prochains jours. Pepsico et Beyond Meat ont en effet décidé de créer une joint-venture pour développer des snacks et des boissons à base de protéines végétales.
Les conditions de l'accord avec PepsiCo n'ont pas été divulguées. Les entreprises ont refusé de se prononcer sur la taille de l'investissement dans l'entreprise. Un porte-parole de PepsiCo a déclaré que l'entreprise serait gérée conjointement par les deux sociétés. Les sociétés n'ont pas précisé quels types de snacks et de boissons seront développés par la nouvelle entreprise, appelée Planet Partnership LLC. Ses produits seront commercialisés auprès des consommateurs nord-américains, et pourraient ensuite être étendus au Royaume-Uni et à la Chine, a déclaré une porte-parole de Beyond.
Nul doute qu’on entendra de nouveau parler de ce partenariat dans les mois à venir.
Food Bev, Barilla acquires fresh pasta recipe box firm Pasta Evangelists, 15/01/2021
Barilla a pris une participation majoritaire dans Pasta Evangelists, une entreprise britannique qui livre des boîtes de recettes de pâtes fraîches directement aux consommateurs. Barilla affirme que l'accord soutient ses plans de croissance internationale, en particulier au Royaume-Uni, et stimule ses efforts de vente en ligne.
Fondée en 2016, Pasta Evangelists livre diverses formes de pâtes et de sauces directement aux consommateurs du Royaume-Uni sur la base d'un abonnement. Selon Barilla, les ventes de Pasta Evangelists ont augmenté de plus de 300 % en 2020, avec plus d'un million de portions de pâtes vendues au cours de l'année, contre seulement 200 portions lors de son lancement en 2016. Pour Gianluca Di Tondo, directeur marketing du groupe Barilla, "la crise du Covid-19 a changé le comportement des consommateurs, la façon dont les gens travaillent et la façon dont les produits sont distribués.La demande des consommateurs pour des aliments frais et de qualité supérieure est en augmentation, ainsi que le boom du commerce électronique et des produits de consommation par abonnement”.
Financial Times, China food : catching a crab, 24/01/2021
Les craintes que les aliments congelés soient porteurs de coronavirus déclenchent des interdictions d'importation de denrées alimentaires de la part des autorités chinoises.
La Chine a ainsi suspendu les importations de plus de 100 entreprises alimentaires dans 21 pays où des infections ont été signalées. Certaines villes ont même totalement interdit la vente de viande importée.
Mais désormais des pénuries sont à prévoir dans le pays. Les inondations et les sécheresses qui ont frappé différentes régions du pays l'année dernière ont fait des ravages.
Tout cela pourrait aggraver une pénurie alimentaire imminente à long terme avec une main-d'œuvre rurale en diminution. La Chine devrait être confrontée à un déficit d'approvisionnement en céréales d'environ 130 millions de tonnes au cours des cinq prochaines années.
Bloomberg, Cultured Fish May Go From Lab to U.S. Plates This Year, 19/01/2021
Alors que l’on a beaucoup parlé ces derniers mois de la viande cultivée in-vitro, voilà qu’arrive désormais le poisson cultivé in-vitro.
La startup BlueNalu a levé 60 millions de dollars et travaille à la réalisation d'une étude réglementaire avec la Food and Drug Administration, qui pourrait la voir devenir la première à vendre des poissons cultivée in-vitro.
Selon Lou Cooperhouse, le directeur général de BlueNalu, l’entreprise suscite “beaucoup d'intérêt de la part des principaux établissements de restauration à travers les États-Unis”.
La société prévoit d'introduire d'abord le mahi mahi puis, plus tard dans l'année, le thon rouge. Son usine d'essai de près de 40 000 pieds carrés sera située à San Diego et devrait être terminée au cours du troisième trimestre.
Design Taxi, Lotus Biscoff Warms Up Your Belly & All Else With Its Own Loungewear Line, 21/01/2021
Pour les fans de speculoos (qui, rappelons le, a été renommé Biscoff), Lotus a lancé une collaboration avec la marque japonaise Gelato Pique et propose une gamme de pulls, gilets, pantalons, T-shirts, chaussettes, chaussures et pochettes estampillés de la marque Lotus et de la même couleur que le fameux biscuit.
La collection sera disponible à partir du 22 janvier et se décline en deux tailles, pour hommes et pour femmes. Toutefois, cette ligne de vêtement ne sera vendue que dans les magasins Gelato Pique au Japon.
Un reportage déniché par Philippe Goetzmann sur une PME de l’agroalimentaire emblématique de la région Alsace, la société Heimburger, qui fabrique les pâtes Grand Mère.
Depuis 4 générations, Pâtes Grand’Mère est un fabricant de pâtes alsaciennes et de sauces. Il s’agit par ailleurs d’une des dernières entreprises familiales indépendantes françaises produisant des pâtes alimentaires. L’ensemble des pâtes d’Alsace (spaghetti, spaetzle, macaroni, penne et bien plus encore) est élaboré dans le strict respect de l’authentique recette alsacienne, transmise par des générations de mères et de grands-mères et toujours autant appréciée par les amateurs de pâtes : un kilo de semoule de blé dur et 7 œufs frais plein air de France.
Chambres d’Agriculture, Le bilan mouvementé de la fin des quotas sucriers, Janvier 2021
Une étude très complète des Chambres d’Agriculture pour mieux comprendre l’impact qu’a eu l’arrêt des quotas sucriers en octobre 2017 sur la filière française. Comme le rappelle les auteurs, Marine Raffray et Quentin Mathieu, la fin des quotas sucriers a provoqué les mêmes effets en Europe que la fin des quotas laitiers, à savoir une crise conjoncturelle et structurelle majeur eu sein de l’Union Européenne.
Elle est à consulter ici.
Un site découvert grâce à Guillaume Millet. Il s’agit d’un grand graphique interactif qui vous propose tous les vins qui s’accommodent avec un fromage en particulier.
http://www.wineandcheesemap.com
Une découverte sur Instagram grâce à @fulguropain : il s’agit du compte @picol_art qui propose chaque semaine de découvrir une œuvre d'art et un vin.
Business of Bouffe #33 | Patrizio Miceli et Christian de Waldner – Italians do it better
Eat’s Business #3 | Glace pour chien, l’étrange palmarès du Guide Michelin et nouilles écoresponsables
À Côté De La Plaque #16 | Stéphanie Le Quellec – Cheffe entrepreneure émérite, maman poule et grande excessive de la belle vie
C’est tout pour aujourd’hui.
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A la semaine prochaine!
O. Frey