🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2021-34
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Le Figaro, Six milliards de dollars permettraient-ils d'en finir avec la faim dans le monde ?, 04/11/2021
Le Monde, La France rétrogradée au troisième rang mondial des producteurs de vin, 04/11/2021
Bloomberg, Cheese Without Cows via Fermentation, 03/11/2021
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
Le Figaro, Six milliards de dollars permettraient-ils d'en finir avec la faim dans le monde ?, 04/11/2021
Début novembre, dans une interview à CNN le directeur du Programme alimentaire mondial des Nations unies, David Beasley, a interpellé Elon Musk et Jeff Bezos en affirmant que « Six milliards de dollars (soit 2% de la fortune d’Elon Musk) pourraient aider 42 millions de personnes qui vont littéralement mourir ». S’en est suivi une réaction d’Elon Musk sur Twitter affirmant “Si le PAM peut précisément décrire sous ce fil Twitter comment six milliards de dollars peuvent résoudre la faim dans le monde, je vendrai immédiatement des actions Tesla et ferai ce don”. David Beasley a en quelque sorte été pris à son propre jeu car pour le moment aucun détail n’a été donné.
Comme l’explique l’article, deux questions se posent donc : 6 milliards de dollars suffiraient-ils pour endiguer la famine mondiale ? Et la faim dans le monde est-elle seulement une question d'argent ?
On apprend ainsi comment fonctionne le système de distribution des aides pour lutter contre la faim au niveau mondial. Ainsi, Pierre Micheletti, président du conseil d'administration d'Action contre la faim, précise que “dans les acteurs humanitaires, il y a trois grandes familles qui participent à l'enveloppe d'urgence, dotée de 38 milliards de dollars en 2020”. A cela viennent ensuite s’ajouter environ 161 milliards de dollars de l'aide publique au développement.
Mais le problème de la faim dans le monde ne peut pas être résolu par les seules ONG. Il s’agit également d’une question de géopolitique et il faut que les Etats soient mobilisés. D’ailleurs, comme l’explique Bruno Parmentier, la faim dans le monde est en fait liée aux « trois C » : les conflits, le réchauffement climatique, et récemment le Covid-19.
Bref, comme le résume bien l’article, “2% de la fortune d'Elon Musk, n'est pas de nature à résoudre la question de la sous-nutrition dans le monde, loin de là. Tout simplement parce que ce problème est politique avant d'être financier”.
Le Monde, La France rétrogradée au troisième rang mondial des producteurs de vin, 04/11/2021
Certes la France n’était déjà plus le premier producteur mondial de vins en volume. Mais entre les épisodes de gel tardif, le mildiou ou la sécheresse, l’année 2021 a été un calvaire pour de nombreux viticulteurs. En conséquence, l’Hexagone vient de passer de la 2è à la 3è place d’après les dernières estimations publiées par l’OIV.
En effet, la collecte française pour 2021 est estimée à 34,2 millions d’hectolitres (soit une baisse de 27 % par rapport à 2020) contre 44,5 millions d’hectolitres pour l’Italie (soit une baisse de 9 %) et 35 millions d’hectolitres pour l’Espagne (soit une baisse de 14 %). D’ailleurs la baisse de la production chez les trois premiers pays producteurs entraîne également une baisse de la production au niveau mondial. Ainsi, l’OIV l’estime à 250 millions d’hectolitres (soit une baisse de 4 % par rapport à 2020).
A noter que certains pays ont eu plus de chance. Ainsi, aux Etats-Unis la production est en hausse de 6 % à 24,3 millions d’hectolitres. En Australie et au Chili elle est en hausse de 30% et en Argentine de 16%.
La Tribune, La Chine fait main basse sur le blé ukrainien dans l'indifférence européenne, 03/11/2021
Encore un article qui mixe alimentation et géopolitique.
Vous ne le saviez peut être pas mais il s’avère que l’Ukraine est un grand pays producteur de blé. Le pays a produit aux alentours de 25 millions de tonnes de blé en 2020.
Or, comme le précise l’article, l'Ukraine a exporté près de 7 millions de tonnes de céréales vers la Chine en 2020.
L’article rappelle par ailleurs que la Chine a commencé à s’intéresser aux terres agricoles des autres pays depuis plusieurs années, que ce soit en Afrique, en Amérique latine ou en Australie. Ce sont des millions d'hectares qui ont été achetés. Désormais le pays s’intéresse donc à l’Ukraine sans que l’Europe ne semble s’en inquiéter.
Le Point, Emblèmes du luxe, les macarons Ladurée ne sont plus fabriqués en France, 03/11/2021 + Libération, Macaron prends moi pour un con, 09/11/2021
L’information avait été révélée lors d’un numéro de Complément d'enquête diffusé fin octobre.
Le patron de Ladurée vient de confirmer au journal suisse Bilan, que les macarons Ladurée ne sont plus fabriqués en France depuis le second semestre 2020. Selon BFMTV, ils sont désormais fabriqués en Suisse.
Les raisons de ce choix sont, comme souvent, d’ordre fiscal. En effet, le journal Bilan affirme que “les autorités politiques ont accordé à Ladurée une exonération fiscale d'une durée de dix ans”.
A lire également la tribune caustique de Jacky Durand dans Libération. Au delà du fait que Ladurée produit ses macarons en Suisse, il pointe le discours de David Holder qui affirme dans l’émission que “cette manufacture, je ne l’ai jamais fait visiter car j’aime l’idée que derrière Ladurée, il y ait ce mystère autour d’un produit phare que nous avons créé”. Or comme le dit bien Jacky Durand, “En matière de communication autour de la bouffe, on pensait avoir tout entendu, des vertes et des pas mûres, au son du pipeau mais le coup du «mystère» sacralisé, on ne nous l’avait jamais fait”.
Mediapart, Circus Bakery : la boulangerie à la mode ne payait pas toujours ses salariés, 07/11/2021
A l’heure où il est de bon ton de taper sur les dark stores et les dark kitchen cet article montre aussi que de petits commerces plébiscités par bon nombre de critiques et encensés par de très nombreux influenceurs peuvent aussi avoir un côté sombre.
L’article s’intéresse en effet à celle qui était depuis son ouverture en 2018 “la boulangerie la plus en vogue de la capitale”. Son produit emblématique était un cinnamon bun vendu à prix d’or (6 €). Mais depuis mi-septembre, cette dernière a fermé ses portes.
Comme l’explique l’article, “derrière la vitrine de pains de qualité aux ingrédients bien sourcés, il y avait de nombreux salaires impayés et une gestion des ressources humaines que plusieurs employés qualifient de « mépris »”. D’autant plus que désormais l’ancien patron est introuvable. Le point commun de la plupart des anciens salariés? Ils étaient en grande majorité étrangers et donc ne connaissaient pas ou peu le droit du travail en France.
Pure Médias, Joey Starr lance son magazine de cuisine, 03/11/2021
Du rap à la râpe il n’y a qu’un pas.
Joey Starr vient en effet d’annoncer qu’il va lancer son magazine de cuisine. Ce dernier sera biannuel et s’intitulera “Five Stars”. A travers ce magazine, l'artiste veut "rappeler que manger est une fête", "que manger est le partage" et "la cuisine est aussi essentielle que ta salle de bains et ta chambre".
L’Opinion, Les start-up anti-gaspillage alimentaire font saliver les investisseurs, 04/11/2021
Aux Etats-Unis les startups qui s’intéressent à la lutte contre le gaspillage alimentaire ont le vent en poupe. En effet, comme l’explique l’article, les sociétés de capital-risque sont de plus en plus nombreuses à investir dans ces startups. Ces dernières s’appuient sur différents outils numériques pour y répondre. Certaines utilisent des algorithmes à base d’intelligence artificielle afin d’évaluer plus précisément la demande et ainsi réduire les invendus. D’autres utilisent ces algorithmes afin de “rationaliser les processus logistiques et revendre les produits refusés par les magasins d’alimentation parce qu’ils ne répondent pas aux critères visuels en vigueur”.
D’ailleurs, d’après un récent rapport édité par CB Insights, les mentions de « gaspillage alimentaire » lors des réunions de présentation des résultats des entreprises ont triplé entre le deuxième trimestre de 2016 et le deuxième trimestre 2021.
Parmi les startups mentionnées dans l’article :
Goodr, qui facture à ses clients l’utilisation d’un logiciel de gestion du gaspillage, qui suit les surplus alimentaires depuis la collecte jusqu’au don, gère la logistique de livraison et génère automatiquement les reçus fiscaux.
Wasteless, qui utilise un algorithme à base d’intelligence artificielle pour réduire automatiquement le prix d’un produit alimentaire périssable à mesure qu’il se rapproche de sa date de consommation optimale. En rayon le nouveau prix s’affiche sur des étiquettes électroniques qui montrent aussi le prix de départ du produit ainsi que sa date de péremption.
Shelf Engine, qui utilise un algorithme à base d’intelligence artificielle pour prédire la demande de certaines denrées grâce aux données du magasin.
Linéaires, Une grand-messe pour le virage digital de Carrefour, 09/11/2021 + Investir, Carrefour noue un partenariat stratégique mondial avec Meta, 09/11/2021
Ce mardi, Carrefour a présenté sa nouvelle (et ambitieuse) stratégie numérique.
Le groupe prévoit par exemple de passer de 7% de part de marché sur le drive en France en 2018 à 20% en 2026 (Carrefour serait actuellement autour de 15% selon Alexandre Bompard). Pour y arriver, le groupe investit à la fois dans de grands entrepôts automatisés et des réserves "hybrides" d’hypermarchés pour le drive et la livraison à domicile ainsi que dans le picking en magasin et les dark stores pour les livraisons express.
Autre volet stratégique dans lequel le groupe compte investir : l’exploitation des données. En effet, le groupe compte 80 millions de clients dans le monde qui ont déjà généré à ce jour pas moins de 8 milliards de transactions. Comme l’explique Élodie Perthuisot, la directrice e-commerce, data et transformation digitale de Carrefour, “nous sommes capables de prédire 58% du prochain panier de nos clients”. Ainsi, 30% des paniers en ligne des Français contiennent déjà des produits poussés par des suggestions personnalisées. Par ailleurs, le groupe compte tirer des revenus de ces données.
Enfin, le groupe a annoncé un partenariat d’envergure avec Meta (ex-Facebook) dont l’objectif est de travailler au développement d'une application censée permettre de regrouper à terme tous les canaux de vente de Carrefour (drive, livraison rapide à domicile, programmes de fidélité...). Selon Investir, ce partenariat sera déployé dans les neuf pays intégrés de Carrefour (France, Italie, Espagne, Roumanie, Pologne, Belgique, Taïwan, Argentine et Brésil). Dans le cadre de ce partenariat, Carrefour compte également s’appuyer sur WhatsApp et Messenger de Meta pour contribuer à “digitaliser son expérience client”.
Au total, ce sont 3 milliards d’euros que Carrefour compte investir dans le numérique sur la période 2022-2026 pour accélérer son développement dans le e-commerce.
LSA, Les Galeries Lafayette lancent Gourmet, 09/11/2021
L’omnicanal s’invite au Lafayette Gourmet.
Les Galeries Lafayette Haussmann viennent en effet de lancer Gourmet, un site de vente en ligne dédié à la gastronomie. On peut y trouver environ 1500 références avec notamment des produits des artisans des métiers de bouche présents au sein du magasin du boulevard Haussmann comme Pierre Hermé, Philippe Conticini, La Maison Vérot, Petrossian ou encore Jean-Paul Hévin, de l'épicerie fine, le marché frais, des plats cuisinés ou du vin.
Il est ainsi possible de commander en click and collect ou de se faire livrer à domicile. Le service de livraison concerne uniquement Paris et les départements limitrophes (92,93,94). Il faut compter 15€ de frais de livraison par commande (offerts à partir de 200€ TTC d’achats).
Fast Company, Take a look inside this shiny, industrial “cultivated meat” factory of the future, 04/11/2021
Vous êtes curieux de savoir comment est fabriquée cette fameuse viande in-vitro dont on entend parler depuis maintenant plusieurs années? Voici un article qui vous raconte la visite d’une usine de Upside Foods en Californie.
A l’intérieur du bâtiment d’une surface de 4 900 mètres carrés, Upside Foods, produira du poulet, du bœuf, du canard et d'autres viandes à partir de cellules cultivées dans des bioréacteurs. L'équipement actuel de l’usine servira à produire environ 22,5 tonnes de produits finis par an. Car comme le précise Uma Valeti, le CEO et fondateur d’Upside Foods, “la prochaine phase consistera à faire passer les produits du laboratoire à l'échelle industrielle”.
Selon Uma Valeti, le coût de la viande cultivée (encore élevé actuellement) pourrait rejoindre celui de la viande produite de manière traditionnelle au cours des cinq à dix prochaines années. Il mise notamment sur le fait qu’au fur et à mesure que la viande cultivée deviendra moins chère à produire, la viande traditionnelle sera quant à elle confrontée à des coûts plus élevés liés à une taxe sur le carbone ou à une autre politique visant à freiner le changement climatique.
D’ailleurs, afin de démystifier la viande in-vitro, cette usine sera ouverte au public à partir de janvier prochain.
The Times, Tax on meat is bad solution to climate change, 02/11/2021
En pleine COP-26 le débat sur l’impact de la consommation de viande sur le climat fait de nouveau rage. Les pets et les rots des vaches sont vilipendés et le bétail est accusé d'augmenter les émissions de gaz à effet de serre et de menacer la planète. Bref, la viande est de plus en plus considérée comme l'ennemi. Néanmoins, comme le constate l’article, à la COP-26 “peu de délégués mettent en pratique ce qu'ils prêchent ; les sandwichs végétariens restent intacts dans les cafés, les beefburgers écossais sont toujours en tête de la plupart des menus”.
Le secrétaire à l'environnement britannique George Eustice fait de son côté pression pour que le pays instaure une taxe sur la viande rouge et les produits laitiers similaire à la taxe sur le sucre.
Pourtant, comme l’explique l’article, les agriculteurs britanniques et leurs troupeaux pourraient apporter une partie de la solution à la crise climatique. En effet, les agriculteurs britanniques se sont engagés à devenir neutres en carbone d'ici 2040, soit “bien avant la plupart des autres industries, y compris le secteur des transports, qui est responsable de 27 % des émissions”.
Mais c’est également aux consommateurs de prendre leur part. Comme le met en avant l’article, “nous devons faire des choix judicieux si nous voulons aider la planète, en mangeant moins de viande mais de meilleure qualité et élevée localement, complétée par des fruits et légumes de saison moins chers”. Toutefois, l’instauration d’une taxe sur la viande et les produits laitiers au Royaume-Uni serait, selon l’article, désastreuse car “elle profiterait aux importations les moins chères venues de l'étranger et encouragerait une agriculture plus intensive dans une tentative de plus en plus futile de réaliser des bénéfices”.
TechCrunch, After acquiring Dija and Fancy, instant grocery startup Gopuff launches in the UK en route to European expansion, 09/11/2021
Alors que le secteur du Q-commerce est déjà bien encombré, un nouvel acteur s’attaque à ce marché. Gopuff, le leader américain du Q-commerce s'est lancé officiellement au Royaume-Uni. Ce lancement est la suite des 2 acquisitions réalisées dans le pays en 2021 (Fancy en février puis Dija en août). Gopuff a fait passer ces deux entreprises sous son propre nom.
L’entreprise est désormais présente à Birmingham, Bristol, Cardiff, Leeds, Liverpool, Londres, Manchester, Newcastle, Nottingham et Sheffield, et prévoit d'être présente dans 33 villes d'ici le milieu de l'année prochaine.
L’article nous apprend que Gopuff lorgnerait également du côté de l’Allemagne et aurait dans le viseur Flink, l’un des principaux acteurs allemands du Q-commerce.
Gopuff, qui existe depuis 2013, estime qu'à l'échelle mondiale, le marché adressable de la livraison instantanée de nourriture et de produits de première nécessité vaut potentiellement 10 000 milliards de dollars (!).
Bloomberg, Cheese Without Cows via Fermentation, 03/11/2021
Encore un article qui va faire bondir les amateurs de fromages de leur chaise.
Après avoir vendu The Vegetarian Butcher à Unilever, l'entrepreneur néerlandais Jaap Korteweg a investi dans une autre entreprise, Those Vegan Cowboys, dont l'objectif est de fabriquer des “produits laitiers sans vaches”.
Alors que la plupart des alternatives végétales au fromage sont à base de soja ou de noix de cajou, ils n'ont généralement pas les arômes, la texture et la qualité gluante du vrai fromage lorsqu'il est fondu. La raison : ils ne contiennent pas de caséines. Those Vegan Cowboys est l'une des dizaines de startups qui cherchent donc à recréer des caséines par fermentation de précision. Selon ces entreprises, cela leur permettra bientôt de produire des fromages pratiquement impossibles à distinguer des vrais.
Techniquement parlant, il s’agit de modifier un champignon ou une levure en y insérant une copie numérique de l'ADN de la vache. Cette substance est ensuite placée dans des cuves en acier, où elle réagit avec des matières organiques pour produire des caséines, qui sont mélangées à des graisses pour produire un liquide ressemblant à du lait.
Les investisseurs parient que le fromage alternatif sera la prochaine grande tendance. Blue Horizon, une société de capital-risque suisse prévoit que la consommation de fromage végétalien sera multipliée par cinq d'ici 2025. Par ailleurs, environ 1,4 milliard de dollars ont été investis dans le monde dans des startups de substituts de lait cette année, soit une hausse de 70 % par rapport à 2020, selon Dealroom.
Parmi les autres entreprises du secteur citées dans l’article :
Formo, une start-up allemande qui a levé 50 millions de dollars pour développer des alternatives végétales à la mozzarella et la ricotta et qui prévoit de fabriquer des alternatives végétales au cheddar et au gruyère
Nobell, une start-up américaine soutenue par Bill Gates, qui modifie génétiquement des plants de soja pour produire des protéines de lait au lieu de protéines de soja. Nobell prévoit de lancer ses premiers produits en 2023.
Stockeld Dreamery, une start-up suédoise qui fabrique un substitut de feta à partir de pois et de fèves fermentés
Motif FoodWorks, une start-up américaine qui développe un fromage à base de maïs tout en travaillant sur la fermentation de précision.
Une fois n’est pas coutume, voici un peu d’autopromo.
J'ai eu le plaisir d'intervenir dans un épisode du podcast #LaStory du Journal Les Échos suite à l'article que j'ai co-écrit avec Céline Laisney pour le Demeter 2021 du CLUB DEMETER.
Si vous voulez en savoir un peu plus sur l'avocat, l'explosion de sa consommation et ses conséquences, n'hésitez pas à aller l'écouter ici.
Les tweets d’Etienne Dorsay sont toujours un régal
A quand la recette du bourguignon sans boeuf ni vin ?
Food Karma #16 | Nordine Labiadh| Le couscous, c’est la vie ! 04/11/2021
Eat’s Business #33 | La France pays d’agriculture durable, Café in vitro et l’Amazon du quinoa bowl. 09/11/2021
C’est tout pour aujourd’hui.
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A la semaine prochaine!
O. Frey